Prêt à affronter l’horreur du Chemin Surprenant ? 

Avant de plonger dans notre chaos, on te balance une petite dose de culture (oui, oui, on est des monstres, mais somme toute cultivés). 
Voici la vraie histoire du Diefenbunker derrière l’inspiration du BUNKER de cette année !

Le Diefenbunker, c’est un gros bunker souterrain pas loin d’Ottawa, au Canada. Il a été construit pendant la Guerre froide, dans les années 50-60. Son nom vient de John Diefenbaker, le Premier ministre canadien de l’époque, qui a soutenu sa construction. 

Ce bunker, c’était un genre de forteresse secrète pour protéger les chefs du gouvernement si jamais une attaque nucléaire arrivait. 

• Se protéger d’une bombe nucléaire : Le bunker était super solide, prêt à encaisser une explosion proche et à garder le gouvernement en marche même après un gros désastre. 

• Centre de commandement : C’était le QG où les dirigeants pouvaient gérer la situation, organiser les secours et prendre des décisions importantes. 

• Abri pour les personnes essentielles : Environ 500 personnes pouvaient y vivre, comme des politiciens, militaires, scientifiques, et du personnel clé. 

Le bunker est divisé en plusieurs zones, réparties sur quatre étages sous terre : 

• Salles de commandement et communication : Pour suivre ce qui se passe dehors et donner des ordres. 

• Bureaux et salles de réunion : Pour que les dirigeants puissent planifier et discuter. 

• Infirmerie : Une petite clinique pour soigner les blessés. 

• Chambres et dortoirs : Pour que tout le monde puisse dormir et rester confiné pendant plusieurs semaines. 

• Salle des machines : Là où on contrôle la ventilation, l’eau, l’électricité… 

• Cuisine et salle à manger : Pour préparer et manger les repas. 

• Salle de filtration d’air : Pour garder l’air propre, même en cas d’attaque chimique ou radioactive. 

• Stockage : Nourriture, eau, médicaments, et tout le nécessaire pour survivre longtemps. 

La structure n’est plus utilisée à des fins militaires, depuis plusieurs années.  

Désormais, une fois par an, les portes du Diefenbunker s’ouvrent. Cette structure souterraine, lourdement renforcée, sert désormais à accueillir ceux que la société a définitivement exclus. Les rebuts. Les irrécupérables. Ceux qu’aucune prison ne retient, qu’aucun traitement ne guérit : meurtriers, marginaux, psychopathes, déviants, indisciplinés… Plus personne ne veut les gérer. La règle: les enfermer. Les laisser s’entretuer, s’oublier, disparaître. 

“Vous n’êtes pas ici par hasard. Vous avez été sélectionnés, arrachés à vos vies misérables — non pas pour ce que vous étiez : des ombres inutiles, des rebuts — mais pour ce que nous ferons de vous. Bienvenue dans les entrailles du Diefenbunker.” 

– Le Sans-Visage